Basse-Goulaine hier

Basse-Goulaine tient son nom de la rivière de Goulaine qui traverse la commune au nord-est. Le monument mégalithique de la " Pierre Frite " et les pierres plates qui ont pu être disposées à proximité témoignent d’une occupation très ancienne (entre 5000 et 3000 av. JC).

La Ville de Basse-Goulaine dispose d’un riche fonds iconographique constitué de cartes postales, pour la plupart datant de la première moitié du XXème siècle. Faites le voyage et découvrez l’histoire de la commune en images !

La Pierre Frite

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La Pierre Frite est un menhir, constitué d’un bloc de quartz à la forme irrégulière, mesurant 3,25 mètres de hauteur, 3,15 mètres de largeur vers son sommet pour 2,20 mètres au niveau du sol, sur une épaisseur de 1 mètre seulement. Son nom lui vient d’une déformation du vieux français Pierre Fiche, signifiant Pierre Dressée.

Basse-Goulaine (vues générales)

La paroisse de Basse-Goulaine fut semble-t-il créée au 13ème siècle (on retrouve une première trace de la paroisse dans un texte de 1287 – une liste de paroisses). C’est sans doute le château de la Trêperie qui a fixé le cimetière et l’église formant le noyau du village, vraisemblablement entre le 12ème et le 13ème.

Le bourg

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L’aménagement d’une place autour de la nouvelle église se situe vers 1880. La première cabine téléphonique est installée au bureau de tabac en 1901.

L’église

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L’ancienne église daterait du XIIIème siècle construite en même temps que le village. De l’édifice roman du début ne subsistait guère que la base du clocher. La façade principale côté ouest était précédée d’un porche qui supportait le clocher.

La Chapelle Saint-Michel

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Sa construction remonterait au XVIème siècle. Cette chapelle qui avait son propre cimetière est l’une des trois chapelles dédiées à l’archange Saint Michel encore visibles dans le département. Les deux autres se situent à Guérande et au Pallet.

Les moulins

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Basse-Goulaine comptait au XIXème siècle de nombreux moulins à vent : le moulin de la Trêperie et le moulin Soline, mais également le moulin Robert, le grand moulin, le moulin de la Grillonnais, le moulin des Vignes, le moulin Mariot, le moulin de l’Ile Chaland, deux moulins au Bois brûlé, au Hamelin.

La gare du Petit-Anjou

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Autre moyen de transport que le fleuve, le chemin de fer et la ligne du Petit Anjou, exploitée entre 1893 et 1948, était empruntée à cette époque par de nombreux nantais qui venaient déjeuner à Basse-Goulaine.

La rue du Grignon

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Selon les plans et les époques, elle est également appelée la Route de la Rivière, la Route de Nantes, le Chemin vicinal N°2, le Chemin du Rivage.

La rivière

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L’eau, avec la proximité de la Loire qui longe la commune sur presque 4 km, a marqué l’histoire de Basse-Goulaine. Il faut souligner l’activité importante qui a pu régner sur le fleuve, utilisé alors pour le commerce et lors des invasions.

Le port

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Retrouvez l’histoire du port, autrement appelé Cale du Pré du bourg ou Queue de Vallée, au fil d’un article qui lui est consacré dans le MAG n°44 d’octobre 2019 (pages 7 à 9)

Les restaurants

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La renommée des restaurants dépassait largement le territoire communal. Spécialités des bords de Loire : cuisses de grenouilles, anguilles, beurre blanc,…

La présence de framboises et raisins sur le blason de Basse-Goulaine souligne deux productions majeures du début du siècle dernier.

La crue de 1910

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Lors de la crue exceptionnelle de décembre 1910, la digue s’effondre en plusieurs endroits et l’eau recouvre toute la vallée. Les populations sont évacuées et on ne déplore aucune victime. On constate deux brèches sur Basse-Goulaine, sur une longueur totale de 272 m.

Les belles demeures

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A l’exception de la Ravelonnière dont la famille de propriétaires remonte au 17ème siècle, les propriétés de Basse-Goulaine représentent plutôt des petits manoirs, construits au 19ème siècle, autrefois appelés « folies » avant la Révolution, permettant de passer une partie des beaux jours à la campagne, à quelques kilomètres seulement de la ville.

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